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Emigrate - The Persistence Of Memory


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il y a 13 minutes, Ginji a dit :

J'aimerais bien, mais il n'est sur aucun site francophone. Et 13€ de frais de port sur le Shop, c'est mort


En adaptant ton panier comme ceci, tu noies les FDP dans la masse.

 

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Ne me remercies pas c’est normal entre fans. 

Edited by JessR+
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Faites gaffe quand même, la dernière fois qu'ils ont voulu faire un truc "moins mou", on a eu LIFAD...

"Well I mean, I don’t think there’s– like always, there’s no good with bad, bad with good. So we’re living in a polarity in a way. I always have a problem between black and white."   C'est l

Les reviews d’album, c’est un peu l’astrologie du journalisme : des mots balancés au hasard qui peuvent correspondre à n’importe quel disque.    « Avec Saturne en rétrograde, il était attendu q

Il y a 14 heures, JessR+ a dit :


En adaptant ton panier comme ceci, tu noies les FDP dans la masse.

 

4782AD5A-364C-47E7-A3B7-3F3D2A3B971E.jpeg
 

Ne me remercies pas c’est normal entre fans. 

Ah. On désolé, il manque Silent So Long 😅🤣

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Dans une interview pour la version allemande du magazine Metal Hammer, Richard explique qu’après la dernière tournée de R+ son moral était au plus bas, au point de lui ôter toute envie de continuer à faire de la musique.

 

Citation

"After the last tour, I had my first really bad crash. I had completely lost the idea of making music at all. Nothing motivated me anymore. I was at war with myself and somehow lost», Richard Z. Kruspe told Metal Hammer. «The present, where you're supposed to live, was so shitty that I was thinking and feeling my way into the past. This gave rise to the idea of taking a look at what I was actually doing back then. So I forced myself to go to the studio and listen to old demos.» The result was Emigrate's fourth album. «I guess the past saved my life a little bit, it made me see the future again. That's why the album is called The Persistence of Memory - the only thing that held me in that time was my memories. Going back to the past eventually showed me the future."

 

En gros plus rien ne le motivait et il se sentait en "conflit avec lui-même et en quelque sorte perdu". Pour lutter contre son mal-être, Richard s’est replongé dans les archives d’Emigrate, se forçant à écouter de vieilles démos. Grâce à cette plongée dans le passé et la résurgence de tous les souvenirs associés (d’où le titre de l’album), il a pu trouver la motivation pour retravailler de vieilles chansons, notamment au niveau des paroles.

 

Bon c’est la traduction (d'une traduction) un peu libre de ses propos, mais ce qu’il faut retenir c’est qu’il s’est servi du passé pour remonter la pente. Et à priori dans cette interview il confirme sa volonté de prendre une autre direction musicale à l’avenir (sous le nom Emigrate ou via un nouveau projet).

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il y a 9 minutes, Qivitoq a dit :

Dans une interview pour la version allemande du magazine Metal Hammer, Richard explique qu’après la dernière tournée de R+ son moral était au plus bas, au point de lui ôter toute envie de continuer à faire de la musique.

 

En gros plus rien ne le motivait et il se sentait en "conflit avec lui-même et en quelque sorte perdu". Pour lutter contre son mal-être, Richard s’est replongé dans les archives d’Emigrate, se forçant à écouter de vieilles démos. Grâce à cette plongée dans le passé et la résurgence de tous les souvenirs associés (d’où le titre de l’album), il a pu trouver la motivation pour retravailler de vieilles chansons, notamment au niveau des paroles.

 

Bon c’est la traduction (d'une traduction) un peu libre de ses propos, mais ce qu’il faut retenir c’est qu’il s’est servi du passé pour remonter la pente. Et à priori dans cette interview il confirme sa volonté de prendre une autre direction musicale à l’avenir (sous le nom Emigrate ou via un nouveau projet).


Je serai tenté de cyniquement dire qu'il s'encroûte, mais en soit on est tellement à farfouiller dans sa boîte à souvenirs lorsque ça ne va pas que je compatis un peu. Je pioche toujours à la recherche d'une praline oubliée (souvent de la musique, mais parfois un jeu ou un film aussi) quand j'ai le cafard. Par contre ça m'a jamais vraiment aidé à percevoir le futur, ni même à le confronter, mais plutôt à le supporter. Mais soit ! 

Après, je pense qu'il extrapole un peu : ce n'est pas tant qu'il ne voulait plus faire de la musique, plutôt qu'il n'était pas dans une bonne passe pour le faire ou qu'il ne savait plus par où commencer. Je vois plus ça comme un syndrome de la page blanche doublé d'une déprime. Ceci expliquant en tout cas un peu mieux pourquoi cet album fait les fonds de tiroirs, mais ça n'invalide pas tellement nos théories selon laquelle ça pourrait être le dernier d'Emigrate (ou le dernier de cette "phase"). 

Après, sauf si je me trompe, c'est loin d'être sa première perte de motivation dans sa carrière musicale (et surtout avec Emigrate justement) ? Donc à voir si le futur réserve vraiment quelque chose de différent. 

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Il va bientôt vendre ses profils Kemper Amps (better than Rammfire) et ses brassards rouges dédicacés ou éventuellement des plectres ayant servis au démos de SSL II post piscine qui fuit. 

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Il y a 4 heures, Qivitoq a dit :

Dans une interview pour la version allemande du magazine Metal Hammer, Richard explique qu’après la dernière tournée de R+ son moral était au plus bas, au point de lui ôter toute envie de continuer à faire de la musique.

 

 

En gros plus rien ne le motivait et il se sentait en "conflit avec lui-même et en quelque sorte perdu". Pour lutter contre son mal-être, Richard s’est replongé dans les archives d’Emigrate, se forçant à écouter de vieilles démos. Grâce à cette plongée dans le passé et la résurgence de tous les souvenirs associés (d’où le titre de l’album), il a pu trouver la motivation pour retravailler de vieilles chansons, notamment au niveau des paroles.

 

Bon c’est la traduction (d'une traduction) un peu libre de ses propos, mais ce qu’il faut retenir c’est qu’il s’est servi du passé pour remonter la pente. Et à priori dans cette interview il confirme sa volonté de prendre une autre direction musicale à l’avenir (sous le nom Emigrate ou via un nouveau projet).

 

 

Ya aussi des éléments de réponse dans cet interview 

 

 

 

Il est accro à la scène et sombre autant après le show, qu'il a été au sommet de l'enthousiasme pendant. 

 

Ça doit pas être évident mais c'est des montagnes russes émotionnelles, l'absence de concerts avec les mesures sanitaires a du le démolir. Le contexte s'y prêtait bien pour le déterrage de vieux morceaux en effet. 

Edited by Guest
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Il y a 12 heures, TheKeyboardfucker a dit :

Cette veste est vraiment affreuse et en plus elle ne lui va absolument pas ! Richard, il faut arrêter…

 

 

La sobriété lui allait si bien. 

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Always On My Mind (Ft. Till Lindemann) sort à minuit 👌

 

Edit: Elle est vraiment chouette, je m'attendais à un truc ultra niaiseux sans drums et mou du genou mais en vrai elle est assez cool 😳

Edited by Atomiiik
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Le seul morceau où il y’a le crobard (donc justifier l’achat en streaming / physique)  Lindemann il le leak sur YouTube. 

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Il y a 5 heures, Atomiiik a dit :

Edit: Elle est vraiment chouette, je m'attendais à un truc ultra niaiseux sans drums et mou du genou mais en vrai elle est assez cool 😳

tu trouves ca chouette ?

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Toujours un pied dans les 2000s, la voix de la meuf à 0:47 me fume. 

 

Edit: "if I make you feel second best, es tut mir Leid" 

 

 

... Bon entre ça et Let's go, c'est quoi Emigrate, une réunion thérapeutique ? :ph34r: ils sont mignons tous les deux 

Même si le "ja" de Lindemann était peut être pas nécessaire à 2:32

 

La voix de RZK est vraiment pas mal sur cette chanson. Je l'avais même pas reconnue à la première écoute. Si quelqu'un me sort que c'est pas lui qui chante, je suis prête à le croire. 

Edited by Guest
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