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Interview de Richard pour WMMR


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Effectivement, Richard rit beaucoup sans aucune raison. :lol:

Au passage, merci également pour cette traduction Ludi !

Edited by Koala
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Ludi rules !!!

Mais pourquoi le journaliste n'a t'il pas évoqué un bouquet final potentiel en Europe ? :(

Rho le passage "musique pour baiser"...anthologique, on croirait entendre des ados excités comme des chiens de ferme :D

Edited by Kam
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De rien, de rien! La seconde partie ci-dessous! ;)

Rho le passage "musique pour baiser"...anthologique, on croirait entendre des ados excités comme des chiens de ferme :D

:lol: C'est clair!

TRADUCTION SECONDE PARTIE

MARKUS : J’ai lu quelque part que tu avais un enregistrement d’AC/DC, enregistrement que tu écoutais souvent. Etait-il aussi pourri (niveau qualité) ?

RICHARD : Oh oui, je l’écoutais sans arrêt. [Mmm… Richard n’a pas compris la question…]

MARKUS : De quel album d’AC/DC s’agissait-il?

RICHARD : C’était un album live d’AC/DC. Peut-être Live in Paris ou quelque chose comme ça. Je crois que c’était Paris, je ne suis pas sûr à 100% mais je pense que c’est ça. Et j’écoutais ce disque encore et encore et toujours. Je suppose, avec le recul, que c’était comme une échappatoire pour moi.

MARKUS : Est-ce que ça s’est avéré être une échappatoire efficace ? Parce que j’ai lu quelque chose sur un incident qui t’est arrivé : peu avant la Chute du Mur, tu sortais d’une station de métro, et tu as été tabassé par la police est-allemande et envoyé en prison pendant 6 jours.

RICHARD : Exact, c’est justement la raison pour laquelle j’ai fui. Je n’avais pas prévu de partir mais ces 6 jours, ils étaient juste… J’avais l’impression que quelqu’un m’avait drogué. Je ne pouvais plus respirer ici, je devais partir. Il y a des moments comme ça dans ma vie où je me suis rendu compte que je devais m’en aller : aller de l’est à l’ouest, de Berlin à NY. Parfois j’ai le sentiment que je dois aller voir ailleurs. Lors de ces circonstances (l’arrestation à Berlin), je n’avais vraiment rien à voir avec la manifestation. Il y avait simplement cette manif’ déjà commencée quand je suis sorti du métro, et ils (la police) m’ont récupéré au passage et m’ont interrogé. Evidemment, ils ne voulaient pas me croire, suffisait de voir à quoi je ressemblais…mais je n’avais rien à voir là-dedans. Puis j’ai pensé, « ça suffit, je me casse ! »

Ensuite, je suis arrivé à l’ouest et c’était juste…ce n’était pas un séjour très intéressant, je te le garantis.

MARKUS : Mais comment tu as fait pour passer? Y avait-il un équivalent de l’Underground Railroad qui te permettait de traverser la République Tchèque pour passer en Hongrie, puis en Autriche, enfin en Allemagne de l’Est ? [underground Railroad : réseau clandestin qui permettait aux esclaves noirs du Sud des USA d’aller dans les « free states » du Nord, où l’esclavage était déjà aboli]

RICHARD : Non, en fait, ce qu’on faisait c’était… On devait prendre l’avion pour aller chez quelqu’un, on devait avoir une adresse spécifique où se réfugier. On prenait donc l’avion pour aller d’abord en Tchécoslovaquie, puis en Hongrie, et ensuite on passait la frontière… A cette époque, ce n’était plus aussi dangereux, même si un cinglé pouvait toujours te tirer dessus.

MARKUS : Et étais-tu en Allemagne quand le Mur est tombé? Es-tu retourné à Berlin pour voir Roger Waters donner un concert lors de la Chute du Mur ?

RICHARD : En fait, je n’étais pas à Berlin-Ouest, je n’ai pas vu le live. J’étais simplement du côté ouest. Je n’arrêtais pas d’hésiter à traverser la frontière, je n’arrivais pas à croire que la frontière s’était ouverte. Je me disais : « ça y est, je suis à l’Est – ah non, laissez-moi revenir à l’Ouest – non, non, je veux aller à l’Est… » (rires) Berlin vivait une époque intéressante à ce moment-là. C’était presque l’anarchie. C’était génial.

MARKUS : Etait-ce difficile pour les deux Allemagne de se réunir? Est-ce que ça a été difficile pour les Est-Allemands ?

RICHARD : Je pense vraiment que c’était difficile pour les deux côtés, mais plus particulièrement pour l’Est parce que…imagine : en presque une seule journée, tu perds toute ta culture, je veux dire : les choses que tu achètes, celles que tu écoutes, la télévision, la radio, les magasins, tout ce dont tu es familier, tout ce avec quoi tu as grandi, a disparu. En quelque sorte, c’est comme être aspiré dans un monde différent. Je pense que ça a été difficile pour les gens. Ensuite, ils se sont retrouvés avec la société de consommation, et après qu’ils se sont rendu compte que ce n’est pas quelque chose qui rend heureux, c’était trop tard.

MARKUS : C’est intéressant parce que, lorsque j’ai fait mon tour d’Europe en 2000, j’ai eu l’occasion de parler avec des gens du coin. Les plus âgés que j’ai rencontrés, qui avaient vécu à l’est du Mur, préféraient la vie avant la Chute du Mur parce que c’était plus simple pour eux, et les jeunes semblaient plus heureux. J’ai pris le train partant de Budapest et allant jusqu’à Vienne, avec un mec de Roumanie. Et je me souviens du jour où Ceausescu a été pendu par le peuple ; [En fait il a été fusillé après un procès sommaire.] ça avait fait la une, et ma famille en avait parlé lors du dîner le soir où c’est arrivé. Donc je m’en souviens très bien. C’était intéressant d’avoir accès à un point de vue interne sur la vie derrière le Mur, parce qu’ici nous n’avons aucune idée de ce que cette vie pouvait être.

RICHARD : Mon enfance était plutôt cool jusqu’à mes 12 ou 13 ans, parce que c’était un environnement si bien contrôlé : il n’y avait pas de chômage, pas de crime, du moins on n’en entendait pas parler ! Il n’y avait pas de riches et de pauvres d’une certaine manière, tout le monde était au même niveau, je veux dire : à première vue. Je constate aujourd’hui que lorsque j’étais enfant, je n’avais pas à me préoccuper de tout ce qui préoccupe mes gamins. C’était en quelque sorte sans danger, assez contrôlé. Je me sentais en sécurité tout le temps. Les problèmes commençaient quand on grandissait et qu’on se rendait compte qu’on vivait dans un mensonge – quand on posait des questions et qu’à chaque fois qu’on les posait, on avait des ennuis, à l’école ou ailleurs. Les problèmes commençaient quand on voulait faire de la musique ou se lancer dans quelque chose qui permette d’explorer sa vie mais qu’on se rendait vite compte qu’on ne pouvait aller nulle part. Les problèmes commençaient quand on s’apercevait qu’ici, c’était comme vivre dans une prison. Mais avant mes 12 ans, je me sentais bien. Quand je regarde en arrière, lorsqu’on me demande : « Préfèrerais-tu l’Ouest ou l’Est ? »…je me dis que les choses ont pris une bonne tournure pour moi – peut-être si le Mur était tombé deux années avant, ça aurait été mieux. Mais les débuts étaient agréables.

MARKUS : Tu as pu vraiment apprécier l’innocence de la jeunesse, si on peut dire, sans les craintes qu’on a ici en Amérique, avec le nombre de kidnapping à travers le monde, c’est juste dingue, mais c’est un sujet bien différent.

RICHARD : Tu sais, quand tu regardes la télé, t’as vu comment le journal s’intéresse aux gens inquiets, ça tourne uniquement autour des sujets qui inquiètent… Nous n’avions pas ça, nous étions innocents en quelque sorte, ce qui était positif.

MARKUS : Je dois dire que c’est clairement un avantage de grandir dans ce genre d’environnement. J’ai aussi lu quelque chose d’intéressant : à l’époque où tu as commencé Rammstein, tu voulais créer un nouveau style musical. As-tu l’impression d’avoir accompli ce que tu as initié en 1994 quand tu as formé le groupe avec Olli et Doom ?

RICHARD : A chaque fois qu’on commence quelque chose de nouveau, on n’y réfléchit pas tant que ça. La chose que nous avons essayé de faire, c’est d’associer la musique allemande, ou plutôt la langue allemande à la musique. Avant, je jouais une musique plutôt d’influence américaine. Puis je me suis rendu compte que c’était me mentir à moi-même. On a besoin de l’environnement, de la culture pour jouer ce genre de musique. Donc ce que nous avons voulu faire (avec Rammstein), c’était de pousser au bout une idée, et pour une raison obscure…tu sais, parfois de bonnes choses arrivent avec la vie ; et c’est avec étonnement qu’on regarde ce qu’on peut accomplir avec juste une idée (vague au départ).

Il y a deux ans, je suis allé à une réunion d’anciens élèves, et on m’a dit que lorsque j’étais jeune, je répétais que je voulais devenir rockstar. C’était impossible de devenir rockstar en Allemagne de l’Est mais, pour une raison étrange, tout au fond de moi, je savais (ce que j’allais devenir).

MARKUS : J’ai vu des vidéos qui relataient comment était la vie derrière le Mur et montraient des petits groupes de musique et autres. Etais-tu dans des petits groupes de ce genre, qui faisaient du rock ou autre, en allemand ?

RICHARD : Oh oui, ça bougeait pas mal, en particulier lors des 5 années précédant la Chute du Mur. Avant, c’était très contrôlé, et ensuite, pour une raison obscure, les gens ont commencé à faire leur propre style de musique. En particulier à Berlin, ça s’activait énormément. Ça bougeait bien plus dans la milieu rock qu’aujourd’hui. Je ne dirais pas que Berlin est une Ville du Rock, mais à cette époque-là, il y avait tellement de groupes qui apparaissaient, tous avec un style punk bien différent, c’était très intéressant. De nos jours, ça verse plus dans l’electro, avec des petits projets qui se forment dans les appartements… Mais Berlin n’est plus une Ville du Rock.

MARKUS : Mais on y trouve toujours une grande culture de la musique, Berlin a toujours été connue pour ça.

RICHARD : Oui, c’est clairement une Ville de la Musique, mais avec le rock, c’est… Il se passe la même chose à NY : ça m’a pris 10 ans pour m’en rendre compte mais c’est très difficile de former un groupe à NY. Tout le monde a toujours trois boulots en même temps, ils ne restent pas dans le même groupe bien longtemps, ils en changent tout le temps, et on n’a pas la liberté de former un groupe.

MARKUS : Et ton groupe a réussi à rester ensemble en gardant tous les membres d’origine, c’est vraiment un exploit. J’ai lu que vous réussissiez à transcender l’amitié pour former une vraie famille. Mais je suis sûr qu’à certains moment, pendant les tournées, vous avez envie de vous étrangler mais vous faites avec, parce que…

RICHARD : Oh! Nous voudrions nous tirer dessus! (rires) Je crois vraiment en l’idée d’une forme de réaction chimique qu’on peut avoir avec certaines personnes. J’ai appris une leçon quand j’étais plus jeune, j’étais dans un autre groupe, et je détestais le bassiste. Un jour, j’ai dit : « ça suffit, je prends un autre bassiste ! » Mais même si je haïssais le mec, et que le nouveau était sympa et gentil, et que je l’appréciais, il n’y avait plus la même énergie. Si on change juste une partie, ça ne fonctionne plus. Je suppose que lorsque tu accomplis quelque chose de bien avec ces mecs…si quelqu’un venait à quitter le groupe, ça ne serait plus Rammstein, ça serait autre chose. Beaucoup de gens, en particulier les Américains, aiment changer, bosser avec des gens différents tout le temps, mais pas moi. Je commencerais plutôt un nouveau groupe !

MARKUS : C’est intéressant, toutes ces différences de philosophie entre les groupes, à cause, évidemment, du fait qu’en Europe, la culture y est différente… Une des choses que j’ai entendu dire de la bouche de pas mal de groupes américains lorsqu’ils parlent de tourner en Europe, Monster Magnet par exemple, qui n’a pas beaucoup de succès par ici, pas autant qu’en Europe. Et ils ont tendance à jouer plus souvent en Europe qu’aux Etats-Unis. Mais il existe aussi une forme de loyauté en Europe qui est très différente de ce qu’on peut ressentir aux Etats-Unis.

RICHARD : C’est vrai. Les fans en Europe sont plus fidèles pour une raison obscure. Je pense qu’en Amérique, tout va si vite, les gens s’ennuient facilement. Ils veulent être divertis, ils veulent toujours avoir le dernier truc à la mode, lancé par les médias évidemment. C’est vraiment différent… Mais on peut trouver des cas inverses. Par exemple, un groupe comme Jane’s Addiction, qui est très connu en Amérique, quand ils viennent en Europe, ils jouent devant 400 spectateurs.

MARKUS : Vraiment? Wow! C’est intéressant comment certains groupes connaissent un succès bien opposé suivant les endroits où ils vont. J’ai aussi lu dans un article que lorsque tu as grandi en Allemagne de l’Est, les sports étaient vraiment mis en avant. Quand tu étais enfant, y avait-il un sport que tu pratiquais, que tu voulais pratiquer, que tu aurais aimé mieux pratiquer, ou ça ne te branchait pas du tout ?

RICHARD : Mais totalement! C’était la chose qui était encouragée par les parents et le gouvernement, par toute la société en Allemagne de l’Est. J’ai fait beaucoup de sport. J’ai commencé avec le football puis je me suis rendu compte que je n’adhérais pas à l’esprit d’équipe. (rires) Donc je suis passé à la lutte, j’en ai fait pendant 7 ans. Mais je me souviens que directement après l’école, je devais aller aux entraînements, et pendant les weekends, il y a avait les compétitions. En grandissant, c’était une compétition par semaine. Mais j’étais plus intéressé par la musique. J’ai appris pas mal de choses grâce au sport : la discipline, la ténacité, la patience, ce qui est aussi utile dans la musique si tu veux avoir du succès.

MARKUS : Je regardais souvent les Jeux Olympiques et je me souviens des nageurs est-allemands, combien ils étaient forts; ils dominaient le domaine de la natation dans les années 1970 et 80. Et je me souviens de la grande différence entre l’Est et l’Ouest, en Amérique, ils en faisaient tout un foin du fait que là-bas, c’était des nageurs professionnels, alors que les nôtres s’entraînent à l’université, ils ne sont donc pas des professionnels, et combien c’est injuste et bla-bla…

RICHARD : Je pense que les Est-Allemands se dopaient plus que les Américains! (rires)

MARKUS : C’est drôle, ça! Votre dernier leader, c’était Egon Krenz. Il a déjà passé 4 années des 6 ans et demi de prison auxquels il a été condamné pour meurtre. Est-il toujours dans l’actu ?

RICHARD : Non. Il a disparu. L’autre jour, je regardais un documentaire sur Honecker et sa femme. Ils se sont échappés au Chili et y ont vécu un certain temps. Je crois qu’il y a un livre qui sort bientôt sur leur vie. Et le plus drôle, c’est que… elle a donné la première interview depuis un très long moment, et c’était si drôle de la voir défendre le système, et refuser d’admettre ce qui se passait. Je me suis rendu compte que des gens peuvent être bloqués sur une certaine manière de voir les choses, en ignorant la vérité, qu’ils refusent de voir parce que sinon, ils seraient obligés d’admettre que toute leur vie n’était que mensonges. C’était un documentaire intéressant.

MARKUS : On n’a pas de documentaires de ce genre chez nous, ce qui fait chier, parce que je trouve que l’Histoire est passionnante, c’est pour ça que ma femme et moi aimons voyager à travers l’Europe. En fait, ma femme et moi sommes revenus d’Italie en avril, nous nous sommes mariés en septembre et nous avons passé notre lune de miel à Rome.

RICHARD : Félicitations!

MARKUS: Merci. Et nous avons pu rencontrer pas mal d’Allemands en voyage, parce que les Allemands aiment venir en Italie, en particulier les Catholiques pendant la période de Pâques. Et un truc que j’ai trouvé intéressant, c’est que beaucoup de ces Allemands étaient habillés exactement comme vous dans la vidéo Mein Land !

RICHARD : Vraiment?

MARKUS : Oui! Avec les tenues colorées, le short, les couleurs vives. Je le jure !

RICHARD : (rires) Comme c’est drôle!… En fait, pas mal de gens y vont car ils habitent en Bavière, c’est pas loin de la frontière.

MARKUS : Je voulais juste signaler la petite anecdote. C’était sympa de voyager avec eux, c’est toujours sympa de voyager avec des Allemands, d’ailleurs, après toutes mes bonnes expériences… Au fait, lorsque vous avez terminé l’enregistrement et le mixage d’un disque, quand il vient le moment de l’écouter, qu’entends-tu en tant que créateur de la musique en question ?

RICHARD : Eh bien, j’ai l’impression que chaque bagarre, chaque dispute, se dégage de cette putain de musique. Quand on écoute les chansons, on se souvient de tous les obstacles qu’il a fallu surmonter pour que le tout soit prêt. Je veux dire… Je me souviens de tous les petits morceaux dont tout le monde se foutait, de toutes les mélodies pour lesquelles il fallait se battre. Ça fait tellement d’histoires, impossible de se relaxer, réécouter l’album est la chose la plus dure à faire. D’ailleurs, ça peut prendre 2 années avant que je puisse réécouter la musique… Ecoute, Markus, je dois vraiment y aller maintenant !

MARKUS : Pas de souci! J’étais prêt à conclure, je tiens à dire merci, on vous attend avec impatience à Philly (Philadelphie) le 26 avril, merci beaucoup d’avoir pris le temps (d’appeler), ça fait plaisir.

RICHARD : La conversation m’a beaucoup intéressé, c’était sympa de discuter. Si seulement j’avais un peu plus de temps mais quelqu’un d’autre attend et je dois voir ma fille ! (rires)

MARKUS : Merci encore, et j’espère vous voir bientôt, à plus !

RICHARD : Merci beaucoup, bye bye!

Edited by LudicrousC
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Richard qui écoute du Skrillex? Nooooooooooon :lol:

Merci Ludi pour ta retranscription ^^ Je vais quand même aller l'écouter en anglais, en plus ça doit être plus facile de comprendre richard vue qu'il a pas l'accent anglais ou américain (je suppose^^)

En tout cas, bonne nouvelle pour le concert complet en Amérique

C'est clair, la compil pour le sexe c'est assez special. En plus si il commence à y rajouter Rammstein, ça devient carrement bizarre.

Je sais plus qui a dit ça mais oui, il aurait dû évoquer un bouquet final in Europe :(

Edited by Ein Kollektiv
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ça doit être plus facile de comprendre richard vue qu'il a pas l'accent anglais ou américain (je suppose^^)

Il a un accent américain auquel il ajoute des fautes de grammaire/vocabulaire et quelques erreurs de prononciation propres aux Allemands. ;) Par exemple, le moment où il dit "think things through" et son utilisation de "documentation" (que le journaliste corrige par "documentaries") sont révélateurs.

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Il a un accent américain auquel il ajoute des fautes de grammaire/vocabulaire et quelques erreurs de prononciation propres aux Allemands. ;) Par exemple, le moment où il dit "think things through" et son utilisation de "documentation" (que le journaliste corrige par "documentaries") sont révélateurs.

Roooh mince. J'ai toujours cru que ls Allemands parlaient très bien anglais ^^ Merci en tout cas pour la précision.

Tu dois être presque bilingue pour pouvoir tout traduire comme ça ^^

Pour patienter : le clip de MHB et le dvd, peut-être ^^

Edited by Ein Kollektiv
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Tu dois être presque bilingue pour pouvoir tout traduire comme ça ^^

Mouarf, c'est en gros ce qui est exigé à l'agrégation, à la seule différence qu'au moment de l'épreuve, on n'écoute l'extrait que deux fois.

Remarque: le plus dur, c'était de me souvenir de l'orthographe du nom du dictateur roumain que le journaliste mentionne (Ceausescu). :lol:

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Aaaah, il me dit quelque chose lui, j'ai dû voir ses "exploits" en histoire.

Bref, j'arrête le HS.

Je pensais que ce serait un interview vidéo,pas au téléphone.

Bon au moins, cet interview n'a pas servit complétement à rien ^^ : on sait pour l'Amérique;

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Pas beaucoup d'engouement pour la reprise de la tournée on dirait :D ... Pourtant le concert de Fort Lauderdale devrait bientôt commencer !

Toujours aucune information sur la première partie ni rien ! Vivement qu'on ait des compte-rendus !

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Pas beaucoup d'engouement pour la reprise de la tournée on dirait :D ... Pourtant le concert de Fort Lauderdale devrait bientôt commencer !

Bah écoute, on doit être environ 5, sur ce forum, à être concernés par la tournée nord-américaine ... Normal qu'on en entendre pas trop parler :lol:

N'empêche, j'ai hâte de voir ce que ça va être. Si la thèse de l'écran géant s'avère réelle ... :D

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Si c'est en 2015 alors que LIFAD est sorti en 2009,et bien il a interet à etre vraiment bien cet album.

Je vois pas tellement ou est le problème de délais, certes LIFAD est sortie en 2009 mais depuis ce temps la ils tournent, ils vont quand même pas sortir un album en 2013 et repartir en tournée pour 4 ans ;)

Même si 6 ans pour un nouvel album c'est long c'est pas 6 ans de silence :)

Edited by combigot
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Je vois pas tellement ou est le problème de délai

Le seul problème, c'est que Rammstein a besoin d'une pause d'un an avant de se lancer dans la composition + enregistrement d'un nouvel album, ce qui leur prend, au mieux, un an et demi! :D

Pour ne pas être déçue, je vais plutôt attendre le nouvel album pour 2016.

Enfin...si nouvel album il y a... :rolleyes:

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Apparemment la thèse de l'écran géant s'avère réelle vu que Joe Letz mix avec des clips de R+ qui tournent derrière (cf. résumé du concert d'Atlanta). Confirmation dans ~20h (1h du mat' ici à Baltimore). En espérant que ce DJ set est pas aussi pourri que le mec qui le fait (je parle en terme de "comportement" of course, pas de talent).

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