Pouto15 0 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 Un peu simplet les paroles mais bon! Sinon c'est sympa le rythme^^ Link to post Share on other sites
wilderwei76 0 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 (edited) le clip est beau mais sans fond.mais au niveau de la musique j'aime, surtout à partir du break même un peu avant!(à partir du ja!) Edited November 11, 2011 by wilderwei76 Link to post Share on other sites
AureliaAuditore 0 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 Où vas-tu ? Où vas-tu donc ? Je pars avec moi-même de l’Est vers le Sud Où vas-tu ? Où vas-tu donc ? Je pars avec moi-même du Sud vers l’Ouest Où vas-tu ? Où vas-tu donc ? Je pars avec moi-même de l’Ouest vers le Nord Puis il arrive en courant Avec le drapeau à la main Mon pays, Mon pays (ma terre) Tu es ici dans mon pays Mon pays, mon pays Tu es ici dans mon pays Mon pays Où vas-tu ? Où vas-tu donc ? Je pars avec moi-même du Nord vers l’Est Où vas-tu ? Où vas-tu donc ? Je pars avec moi-même de l’Est vers l’Ouest Où vas-tu ? Où vas-tu donc ? Je vais seul de pays en pays Et rien ni personne Ne m’invite à rester Mon pays, mon pays Tu es ici dans mon pays Mon pays, mon pays Tu es ici dans mon pays Ma vague et ma plage Ouiiiii Une voix venant de la lumière Tombe du ciel vers le visage Déchirant l’Horizon, où vas-tu ? Ici, plus rien n’est libre C’est mon pays C’est mon pays C’est mon pays ! Mon pays, mon pays Tu es ici dans mon pays Mon pays, mon pays Tu es ici dans mon pays Ma vague et ma plage Mon pays Expulser ! Mon pays Chasser ! Mon pays Oublier ! Mon pays Nulle part je ne peux rester Edit : La VF maintenant : Mon dieu mais c'est ca !! Rammstein a copie Faudel !!!! Link to post Share on other sites
psychogene 8 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 Vraiment pas ce à quoi je m'attendais. Le "scénario" a du tenir sur une demi feuille A4! Y'a t'il seulement un message dans ce clip? Et c'est quoi le rapport entre les paroles de la chanson et la vidéo? Vraiment déçu :/ Link to post Share on other sites
Mitth'raw Nuruodo 9171 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 En même temps, ils ont déjà perdu un procès pour plagiat contre Desireless, non? Link to post Share on other sites
geo182 2 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 Une bouse ce clip. Où est-ce qu'on signe pour qu'ils arrêtent de bosser avec Akerlund?Le morceau relève pas le niveau: rien de neuf, même pas effiace, texte creux et une énorme impression que le groupe n'a plus rien à dire. J'espère qu'ils vont vite se reprendre, car tout en considérant qu'ils ont voulu faire de ce Mein Land une blague, ça ne laisse pas rêveur pour la suite de leur histoire. Link to post Share on other sites
flo_815 0 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 Eh ben ... J'ai bien aimé la 1ere partie, c'est bien beau toutes ces couleurs, la plage etc. ... mais en même temps, est-ce que c'est vraiment ce qu'on s'attend de Rammstein, des plages et du soleil? NON. Et que dire du «beach party» tr0 d4rk avec des greluches à n'en plus finir, les gars maquillés comme des ados gothiques en recherche d'identité, des cascades de feu -qui semblent simplement être là pour nous rappeller de quel groupe est le clip parce que hein, Rammstein C DE NAZI KI KRASH DU FE (comme l'a déjà si bien dit ce cher Nini). Et en même temps, ce genre de clip-là ne présente aucun autre intérêt que le premier visionnement ... C'est tellement pauvre que le seul plaisir qu'on peut avoir à le regarder d'avoir l'effet de surprise. Et une fois la surprise passée, on se retrouve en face d'un vidéo complètement vide de sens et décousu, qui semble avoir été fait en privilégiant uniquement le visuel aux dépends du contenu. Autant je peux voir et revoir des clips comme Haifisch, Ich Will ou Du Hast et ne pas m'en lasser, autant celui-là je l'ai vu une seule fois et ça me suffit amplement. Bref, bien de l'attente pour pas grand-chose. Et bien du potentiel gâché aussi, mais ça a déjà été suffisamment dit Ah et aussi : DÉCEPTION TOTALE, on ne voit le fameux homard géant que durant quelques secondes. Depuis des mois qu'on en parle, et c'est tout ce qu'on a Et la chanson ... boarf, le refrain saccadé -avec les Mein Land qui sortent de nulle part- est encore aussi laid. Et je crois que je commençais à aimer les passages de Final Countdown, ils me manquent là Link to post Share on other sites
LudicrousC 5375 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 (edited) Nous voici plongés en Californie, en 1964. La vie est belle à cette époque-là. L’occident prospère ; on veut simplement s’amuser, profiter de la vie, « surfin’ USA ». C’est donc dans la peau de Beach Boys auto-bronzés, bien caricaturaux, qu’on retrouve Rammstein pour la chanson inédite de leur worst-of album, Till se rajoutant la carte The Hoff pour faire plus viril (référence d’ailleurs bien anachronique à Baywatch, mais peu importe ! ça symbolise aussi l’Amérique héroïque qui se mondialise). Ils sont mignons, souriants, ridicules, bien gentillets devant ces seins et ces fesses féminins surnuméraires qu’ils tripotent en toute innocence tout en jouant de leur instrument ou en restant en équilibre sur une planche de surf. On ajoute du karaoké par-ci, par-là, des commentaires de réalisateur vantant l’ambiance carnavalesque sur cette plage où règne la sérénité (puisque Till le maître-nageur est là pour surveiller tout ça et le drapeau américain se déploie majestueusement), et la superficialité : on présente les personnages principaux en intro (sur une mélodie ajoutée, très étrangère à la chanson Mein Land – on est loin, très loin, des sons arabisants de la bêta), la tête des membres du groupe collée à une planche de surf, leur nom dans une police d’écriture colorée, pour la gaieté. Seul signe troublant : une tête de mort customisée montée sur un pic, signalant la présence d’aborigènes dans la région ? La tête est d’ailleurs associée au nom du réalisateur. Y aurait-il un retournement de situation ? Une intrigue surprenante ? Ah non, voilà qu’arrive Flake dans sa Volkswagen 1951. Les filles dansent, Till veille toujours, la musique a démarré, les musiciens jouent et apprécient l’ambiance – tout va bien. Richard : « Au poil ! » Les commentaires du réalisateur nous assaillent : ce qu’on voit est « sensationnel » mesdames et messieurs ! « Voici les filles ! » « Voici les mecs ! » « C’est parti pour la fête ! » « C’est du bonheur qui ne s’arrête jamais ! » comme si on avait vraiment besoin de nous le rappeler. Les transitions de scène à scène se fait par des cœurs, des ballons, des palmiers, etc. qui grandissent, emplissent l’écran, nous happent presque. Et au cas où on ne l’aurait pas encore compris, Till nous le gueule via un énoooorme porte-voix assorti à son short pour qu’on le voit bien. Au fond, les « Wohin gehst du, wohin ? » s’adresseraient presque à nous. Où allons-nous ? C’est ici qu’il faut être ! Les membres du groupe regardent souvent la caméra pour être sûrs qu’on comprenne bien. Et tout le monde se fait des signes pour montrer un accord tacite entre eux. Ce qu’on voit, les maillots, les instruments, les accessoires, forment un patchwork de joyeusetés : c’est coloré, ça vient des îles ou d’une autre époque bien formidable, c’est fait pour jouer et s’amuser. Le message est bien passé depuis le début, mais il continue de nous agresser jusqu’à la soirée. La parodie va jusqu’à en faire des danseurs qui swinguent moyennement bien, et à rendre leurs prouesses de surfeur complètement irréalistes : l’eau les éclabousse de manière bien invraisemblable, la vague dans le fond est bien trop impressionnante, ils se mettent à plusieurs sur une même planche et ne tombent pas, même pas Till avec la donzelle sur les épaules. Le décor est invraisemblable (cf les Mein Land disséminés partout : voiture, panneaux…) L’attitude de tous les personnages est guignolesque : Flake n’arrive pas à porter sa planche tout seul et se voit seconder par un baigneuse énorme ; ils se cachent derrière leur planche, ou se cassent la figure dedans en se poussant comme des gamins ; on a même droit à une chorégraphie de boy-band des 90s mal répétée ! Et puis, hop ! nouveau signe étrange sur le break de la chanson (Eine Stimme aus dem Licht…) : le homard et le truc vert indéfinissable le poursuivant, ce qui laisse les filles particulièrement indifférentes. C’est bizarre, quelque chose va-t-il se passer ? Ah ! Les surfeurs tombent enfin de leur planche ! Le bonheur ne peut pas être aussi parfait ! Till court vers le danger ! Le soleil se couche… Suspense…suspense… Till nous regarde, on le voit en contre-plongée – il est impressionnant, furax ?… Eh bien, non ! Rammstein-Beach Boys sont poursuivis par les fêtardes (rappelez-vous les boy-bands poursuivis par leurs fans, ils en faisaient même des trailers) : « Let’s go go GO ! » avec le groupe plus ou moins classé en fonction de leur taille, tenant la même planche de surf, tout souriants. Argh! C’était qu’un leurre ! Alors même qu’on se demande où ils vont (« let’s go go go » - oui mais où ?), on change de ton, avec comme seule transition le carton qui nous annonce, derrière une profusion de flammes, qu’on est, certes, au même endroit, mais 48 ans plus tard. Le drapeau américain est remplacé par le drapeau allemand. Les Beach Boys ont été transformés en métalleux pyromanes et les pin-ups sont devenues hétéroclites : on a des artistes de cirque mêlées à des danseuses en bikini et des catcheuses. D’ailleurs, le décor n’est pas une plage mais une fête foraine. Même le groupe s’y met : on les voit évidemment entourés de flamme qu’ils maîtrisent, ils se mettent aussi en scène comme dans un cirque : On voit Till à gauche avec lance-flamme sur un tremplin (qui rappelle aussi leur scène de concert sur le LIFAD tour), Flake à droite (potentielle victime ?). Ils sont séparés par deux poteaux (de beach volley ?). Richard se baisse, semble s’éloigner comme s’il y avait danger. Puis Till active le lance-flamme en direction de Flake. La scène fait un peu sacrificielle, ce qui s’oppose au chaos de l’action. La séquence se termine sur un gros badaboum. Till, de son visage sinistre, montre qu’il est bien content de lui et derrière lui, on constate un excès de flammes : Petite touche humoristique pour nous rappeler la première partie avec un crabe qui parle à la place du réalisateur et nous rappelle que c’est bien fini (d’ailleurs, la position de ses pinces rappelle la position des doigts sous le nom de Akerlund en intro) : Le truc, c’est que c’était évident. Alors pourquoi en rajouter une couche avec ces messages très « jingle », cet excès qui parcourt tout le clip ? L’opposition entre 1ère et 2ème parties m’amène au jeu sur le grotesque et le macabre. Les deux procédés servent la comédie, mais ne portent pas tout à fait sur la même chose : le grotesque est, en quelque sorte, plus porté sur la vie, alors que le macabre s’attache à la représentation de la mort. Se focaliser sur le corps et son épanouissement excessif, qui passe par la sexualité, la nourriture, etc. est propre au grotesque. Inversement, la violence faite au corps (violence littérale ou figurée : déformer ou maquiller le corps, c’est en partie lui faire violence) est propre au macabre. Dans les deux cas, on a toujours une forme d’excès, la présence de quelque chose qui échappe au contrôle. Avec Mein Land, on a donc une première partie clairement grotesque : les gros-plans sur les seins et les fesses sont opposés successivement aux visages enjoués des membres du groupe et des pin-ups. Il y a aussi des mains baladeuses, sur les hanches, les cuisses, les seins des demoiselles, mains qui mettent en évidence une sexualité mal contenue. Image typiquement grotesque : On ne voit presque plus Paul, d’ailleurs son visage était coupé lorsqu’il mettait la crème solaire : la main qui étale la substance blanche (inutile de préciser ce que ça symbolise) sur la poitrine fait clairement allusion a une sexualité excessive (cf la quantité de crème). Inversement, la seconde partie se passe la nuit, propice au macabre. Le visage maquillé des membres du groupe est livide comme la mort et rappelle la cicatrice du Joker, qui est censée représenter un sourire – symbole de la comédie – mais c’est un sourire forcé, qui a dénaturé le visage, devenu morbide ou macabre. La morbidité de ces visages est mise en évidence par le regard vitreux de Till : D’ailleurs, il crache aussi du feu– sa présence est vue comme menaçante (la mort plane), mais elle est vue en gros plan, dans une forme d’excès visuel (cracher du feu est un caractère non-humain, il excède la définition): Le macabre passe aussi par le visage des filles, déformé par les cris, les efforts : et par la violence faite aux corps féminins : il y a les filles qui se contorsionnent, font des pirouettes et tombent lourdement, jouent avec le feu (littéralement), et celles qui se battent entre elles, renversent les tables, façon « catcheuses dans la boue », dans une succession d’images rapide. Ici, l’excès passe par l’accélération. Ce qui fait que le clip se dégonfle comme un ballon crevé, c’est pas simplement le fait qu’on a déjà tout vu du clip à travers les trailers, c’est aussi le fait qu’il n’y a pas de transition entre le grotesque et le macabre. Le macabre est légèrement annoncé par la tête de mort et le homard qui court pour sa vie, mais ces allusions paraissent simplement humoristiques. Quand arrive la seconde partie, on cherche à créer la surprise par la transformation de la beach party guillerette en cirque explosif, qui n’étonne plus vraiment le fan – ça n’étonnerait que le spectateur qui ne connaît pas Rammstein. Et une fois le macabre installé, les allusions au grotesque semblent avoir été collées au reste : on voit des seins nus en gros plan, et des filles qui s’embrassent : C’est d’autant plus prévisible qu’exactement les mêmes techniques ont déjà été utilisées par Akerlund dans Pussy et Mann gegen Mann pour le grotesque (gros plans sur les fesses des bodybuilders ou des pénis/seins/fesses, etc.) et Ich Tu Dir Weh pour le macabre (d’ailleurs, les gros plans sur Till sont très similaires : même cadrage, même positionnement de la tête). Le clip Mein Land prétend démontrer que Rammstein (largement caricaturés – j’ai presque eu l’impression de voir Psychosocial de Slipknot) surpassent leurs avatars en Beach Boys, mais les excès dans les deux modes (grotesque et macabre) ont fini par tout faire exploser, et du clip, on retient surtout la première partie auto-dérisoire, où Rammstein se présentent volontiers comme des fantasmes en papier mâché. Edited November 11, 2011 by LudicrousC Link to post Share on other sites
Mitth'raw Nuruodo 9171 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 (edited) J'ai bien aimé la 1ere partie, c'est bien beau toutes ces couleurs, la plage etc. ... mais en même temps, est-ce que c'est vraiment ce qu'on s'attend de Rammstein, des plages et du soleil? NON. Et que dire du «beach party» tr0 d4rk avec des greluches à n'en plus finir, les gars maquillés comme des ados gothiques en recherche d'identité, des cascades de feu -qui semblent simplement être là pour nous rappeller de quel groupe est le clip parce que hein, Rammstein C DE NAZI KI KRASH DU FE (comme l'a déjà si bien dit ce cher Nini). Là, par contre, je vous trouve injuste -c'est comme la pochette, arrêtez de prendre ça au premier degré, quoi Évidemment que c'est complètement caricatural, c'est le but! Non, moi, ce qui me dérange, c'est que ça ne suffit pas à justifier le clip, on s'ennuie franchement Et la chanson ... boarf, le refrain saccadé -avec les Mein Land qui sortent de nulle part- est encore aussi laid. Et je crois que je commençais à aimer les passages de Final Countdown, ils me manquent là Mais carrément, ce n'était peut-être pas exceptionnel, mais au moins il y avait un clavier... Ils ont laissé le riff pourri et ils ont viré le truc le plus intéressant, c'est leur politique, ces derniers temps... D'ailleurs, quand on y pense, la version Bêta aurait finalement mieux convenu à l'ambiance du clip. C'est consternant, MIG s'annonçait comme une espèce de renaissance, et finalement, c'est pour mieux retomber dans leurs vieux travers... Il serait peut-être temps de se sortir les doigts du cul. Edited November 11, 2011 by Mitth'raw Nuruodo Link to post Share on other sites
geoffrey 3171 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 Ah par la fin du clip, le reste ne m'attire pas du tout. Ah voir ce que ca donne en live mais je suis sceptique... Link to post Share on other sites
Guitarpulse 0 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 Arrêté de vous plaindre un peu ! ^^ Je suis sur que en live celle ci elle va démonté a coup sur ! Link to post Share on other sites
flo_815 0 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 (edited) J'ai bien aimé la 1ere partie, c'est bien beau toutes ces couleurs, la plage etc. ... mais en même temps, est-ce que c'est vraiment ce qu'on s'attend de Rammstein, des plages et du soleil? NON. Et que dire du «beach party» tr0 d4rk avec des greluches à n'en plus finir, les gars maquillés comme des ados gothiques en recherche d'identité, des cascades de feu -qui semblent simplement être là pour nous rappeller de quel groupe est le clip parce que hein, Rammstein C DE NAZI KI KRASH DU FE (comme l'a déjà si bien dit ce cher Nini). Là, par contre, je vous trouve injuste -c'est comme la pochette, arrêtez de prendre ça au premier degré, quoi Évidemment que c'est complètement caricatural, c'est le but! Non, moi, ce qui me dérange, c'est que ça ne suffit pas à justifier le clip, on s'ennuie franchement Ouais non, je sais qu'il faudrait pas prendre ça directement au premier degré ... Mais le truc, c'est que j'arrive même pas à y trouver de second degré, tant c'est primaire et complètement vide ^^ Je sais, l'auto-parodie, c'est cool et tout ça, mais autant la première partie du clip (la plage) avait un bon potentiel d'auto-dérision, autant la 2e partie vient tout gâcher de cet esprit-là. Arrêté de vous plaindre un peu ! ^^ Je suis sur que en live celle ci elle va démonté a coup sur ! Oh oui, peut-être bien ... Mais là on parle du clip Edited November 11, 2011 by flo_815 Link to post Share on other sites
Tilliebe 4 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 @Ludi: Merci pour tout ces commentaires sur le clip, qui m'ont fait comprendre deux trois trucs que je n'avais pas saisi Link to post Share on other sites
Ein Kollektiv 931 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 J'ai bien aimé la 1ere partie, c'est bien beau toutes ces couleurs, la plage etc. ... mais en même temps, est-ce que c'est vraiment ce qu'on s'attend de Rammstein, des plages et du soleil? NON. Et que dire du «beach party» tr0 d4rk avec des greluches à n'en plus finir, les gars maquillés comme des ados gothiques en recherche d'identité, des cascades de feu -qui semblent simplement être là pour nous rappeller de quel groupe est le clip parce que hein, Rammstein C DE NAZI KI KRASH DU FE (comme l'a déjà si bien dit ce cher Nini). Là, par contre, je vous trouve injuste -c'est comme la pochette, arrêtez de prendre ça au premier degré, quoi Évidemment que c'est complètement caricatural, c'est le but! Non, moi, ce qui me dérange, c'est que ça ne suffit pas à justifier le clip, on s'ennuie franchement Et la chanson ... boarf, le refrain saccadé -avec les Mein Land qui sortent de nulle part- est encore aussi laid. Et je crois que je commençais à aimer les passages de Final Countdown, ils me manquent là Mais carrément, ce n'était peut-être pas exceptionnel, mais au moins il y avait un clavier... Ils ont laissé le riff pourri et ils ont viré le truc le plus intéressant, c'est leur politique, ces derniers temps... D'ailleurs, quand on y pense, la version Bêta aurait finalement mieux convenu à l'ambiance du clip. C'est consternant, MIG s'annonçait comme une espèce de renaissance, et finalement, c'est pour mieux retomber dans leurs vieux travers... Il serait peut-être temps de se sortir les doigts du cul. T'as pas idées comme je suis d'accord sur ce point, je suis vraiment déçue... autant tu peux avoir des décéptions mineures mais là... Faut graver ces mots en lettres d'or sur une bannière pour Bercy. Link to post Share on other sites
LudicrousC 5375 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 @Ludi: Merci pour tout ces commentaires sur le clip, qui m'ont fait comprendre deux trois trucs que je n'avais pas saisi De rien. C'est pas fini, par contre, j'éditerai sûrement pour la partie "catcheuses féroces et Jokers pyromanes" et la conclusion... mais la conclusion risque d'être acerbe. Link to post Share on other sites
O'Kermarek 0 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 En même temps, ils ont déjà perdu un procès pour plagiat contre Desireless, non?Pas mal ^^ Link to post Share on other sites
AureliaAuditore 0 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 (edited) je verrais bien la deuxieme partie du clip dans une pub contre l'alcool "Tu t'es vu quand tu as bu ??" Edited November 11, 2011 by AureliaAuditore Link to post Share on other sites
Tilliebe 4 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 Ça me fait penser exactement à la même chose! Quand j'ai vu la fin du clip, j'ai vu cette vidéo Link to post Share on other sites
ChaOtic-Engel 4 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 (edited) En effet ça fait sourire, la fin est pas mal, elle contraste bien avec le début tout beau tout lisse mais pour moi c'est loin d'être le meilleur clip...Le clip ne met pas la musique en valeur ...Décidément j'ai du mal avec le style Akerlund, qui a on dirait des idées très limitées (femmes, nudité de celles ci et tourner nos teutons en ridicule même si ça ne tue pas!) Edited November 11, 2011 by ChaOtic-Engel Link to post Share on other sites
AureliaAuditore 0 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 "Attention les enfants, si vous buvez trop, vous allez vous battre comme des catcheurs, mettre le feu a vos guitares, ressembler à des bouffons, et montrer vos seins" On essayait de trouver un message a cette chanson , je crois qu'on l'a Link to post Share on other sites
ChaOtic-Engel 4 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 Ah oui la morale est bien trouvée ! Link to post Share on other sites
AureliaAuditore 0 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 Le sens de la chanson etait facile a trouve il suffisait de lire a travers les culs euh les lignes Link to post Share on other sites
UlbaWan- 0 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 Y'a quand même un fond de message, faut pas exagérer...On montre la vison caricaturiste de la façon de s'amuser sur deux époques.On prend un endroit qui, aux deux époques, correspondent a la détente et à la tranquillité, a l'amusement primaire, et on y colle d'un côté les '60s et l'époque actuelle.Les '60s :-Journées ensoleillées-Calme et isolé-Beach boys-Filles insouciantes-Respect et amusement sans prise de tête-Clips sous-titrés et commentés avec l'écriture typique-Humeur bon-enfant-Petite musique (la facon dont ils jouent sur leurs instruments, calme, et instruments orienté tout sauf rock,...)Aujourd'hui :-Alcool-Nuit-Musique rock très forte (La on a les vrais instruments et la vrai façon de jouer du groupe)-Maquillage-Violence-Feu-...On la vie d'un lieu à travers le temps quoi...Enfin c'est pas pour autant que le clip est bon. Par contre il a l’avantage de montrer le groupe sous un beau jour pour leur age je trouve. 'Fin quelqu'un qui connait pas Rammstein et qui voit ça, il se dit que le groupe est loin d'être dépassé non ? Link to post Share on other sites
Mitth'raw Nuruodo 9171 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 Je plussoie, je ne pense pas grand bien de ce clip, mais ce n'est pas une raison pour exagérer complètement Link to post Share on other sites
AureliaAuditore 0 Posted November 11, 2011 Share Posted November 11, 2011 (edited) Pas faux il est vrai Mais ca aurait être un bon clip si la deuxième partie n'avait pas ete totalement baclée Faut pas etre epileptique pour la regarder Edited November 11, 2011 by AureliaAuditore Link to post Share on other sites
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