Jump to content

Documentaire + Ramm 4 en approche


Recommended Posts

Nous tenons une nouvelle confirmation que la sortie d’un documentaire sur Rammstein se rapproche ! La GEMA, qui gère les droits d’auteur en Allemagne, a ajouté deux entrées dans sa base de données, avec comme année de production 2024 :
 

  • « Rammstein dokumentation », un épisode avec à l’intérieur une musique de 4 minutes et 40 secondes ;
  • « Ja, nein, Rammstein », une vidéo de durée inconnue.

Tout cela reste énigmatique, mais confirme nos précédentes informations faisant état d’une série documentaire (à priori sur Amazon Prime) accompagnée par le single Ramm 4 (dont « Ja, nein, Rammstein » est le refrain). Le clip pourrait éventuellement servir de bande annonce.

À suivre !

gema.png

  • Like 11
  • Thanks 2
Link to post
Share on other sites
  • Replies 172
  • Created
  • Last Reply

Top Posters In This Topic

Top Posters In This Topic

Popular Posts

Nous tenons une nouvelle confirmation que la sortie d’un documentaire sur Rammstein se rapproche ! La GEMA, qui gère les droits d’auteur en Allemagne, a ajouté deux entrées dans sa base de données, av

VoiciWorld.com

Il faut lui reconnaître un sens aigu de la concision 

Amazon Prime a, comme beaucoup de plateformes vod/streming, une tendance à l'exclusivité très stricte sur ses contenus pour qu'ils ne soient pas dispo sur d'autres supports.

 

Le plus sympa pour les fans ça aurait été d'avoir le doc sur inclus avec le dvd live Mexico 2022 qui est dans les tuyaux.

Link to post
Share on other sites

Wow, soit ça n’a rien à voir, soit si les trailers sont prêts c’est que ça peut aller très vite.

  • Like 1
Link to post
Share on other sites

Je me souviens que c’est Peter qui avait compris à l’époque de F&M que les gens scrutaient la GEMA et connaissaient à l’avance le titre des chansons (il avait été surpris par les demandes de date de sortie de Steh Auf).

 

Depuis, notamment pour Zeit, les titres n’avaient été enregistrés à la GEMA que très près de la sortie de l’album.

 

Du coup ce serait pas étonnant que ça aille plus vite que ce qu’on ne pense

  • Like 4
Link to post
Share on other sites
il y a une heure, TheKeyboardfucker a dit :

Depuis, notamment pour Zeit, les titres n’avaient été enregistrés à la GEMA que très près de la sortie de l’album.

 

Du coup ce serait pas étonnant que ça aille plus vite que ce qu’on ne pense


Pour Zeit ils ne voulaient surtout pas que la tracklist fuite à cause de leur jeu de piste pour la découvrir. Ce qui a été d’autant plus drôle quand c’est Universal eux-même qui l’ont faite fuiter.
 

Mais là pour le docu je pense qu’ils s’en fichent un peu, du coup ça ne signifie pas forcément que c’est imminent (même si je pense que c’est pour bientôt).

  • Like 3
Link to post
Share on other sites
Le 24/08/2024 à 23:41, Pierrick a dit :

Mais là pour le docu je pense qu’ils s’en fichent un peu, du coup ça ne signifie pas forcément que c’est imminent (même si je pense que c’est pour bientôt).

 

A la fin de ta phrase, je peux pas m'empêcher de me dire "lis entre les lignes, il essaie de nous dire qqch qu'il peut pas dire"... purée c'est mauvais d'être fan, on interprète tout 🤣

Link to post
Share on other sites

Qu'attendez-vous de ce documentaire ? Autant le live me hype, autant ce documentaire me laisse assez froid. J'anticipe quelque chose destiné au grand public sur Amazon dont je n'apprendrai pas grand chose. J'essaye de me dire quand même qu'on aura peut-êtredu proshot inédit, voire qui sait une démo inconnue en fond sonore d'une archive pour me motiver. 

 

Vous aimeriez que le documentaire lève le voile sur quel aspect du groupe ? Backstage de tournées, détails sur l'enregistrement des albums, anecdotes croustillantes sur leur vie sentimentale ?

  • Thanks 1
Link to post
Share on other sites

On aura les membres du groupe au Mexique déjà. 

Richard qui va en salle de cours pour écrire au tableau "ja, nein, Rammstein", a mon avis c'est pour le documentaire 

Link to post
Share on other sites
il y a 39 minutes, Ginji a dit :

On aura les membres du groupe au Mexique déjà. 

Richard qui va en salle de cours pour écrire au tableau "ja, nein, Rammstein", a mon avis c'est pour le documentaire 


Peut-être, mais si c’est le cas je trouverais étonnant que ça ait fuité et que le groupe laisse faire. 

Link to post
Share on other sites
il y a 58 minutes, Niklaus a dit :

Qu'attendez-vous de ce documentaire ? Autant le live me hype, autant ce documentaire me laisse assez froid. J'anticipe quelque chose destiné au grand public sur Amazon dont je n'apprendrai pas grand chose. J'essaye de me dire quand même qu'on aura peut-êtredu proshot inédit, voire qui sait une démo inconnue en fond sonore d'une archive pour me motiver. 

 

Vous aimeriez que le documentaire lève le voile sur quel aspect du groupe ? Backstage de tournées, détails sur l'enregistrement des albums, anecdotes croustillantes sur leur vie sentimentale ?

 

C'est intéressant comme question. Mais c'est compliqué d'avoir des attentes particulières car on ne sait pas sur quoi porte le docu. Si c'est sur la tournée, ça me brancherait d'en apprendre sur la vie du groupe en tournée, pas seulement le backstage des lives et leur préparation, mais sur leur manière de vivre les à côtés. Et en bonus, des images de leurs passages à St Rémi (mais ça c'est ma fierté de provençal qui parle pour moi), car le 7 et 8 ont eu une dynamique différente.

 

Et si ça porte pas que sur la tournée, je serais curieux d'avoir leur sentiment et leur regard rétrosepctif sur leur carrière, avec pour fil conducteur leur relation au public et les particularités culturelles selon certains pays voire continents. In Amerika traitait un peu ça mais je le trouvais parfois grotesque, car le groupe était parfois présenté comme un phénomène culturel là bas.

 

Autre sujet qui me m’intéresse énormément : savoir comment chacun trouve et nourrit son inspiration.

  • Like 2
Link to post
Share on other sites
il y a 7 minutes, GuiBGuiB a dit :

 

Autre sujet qui me m’intéresse énormément : savoir comment chacun trouve et nourrit son inspiration.

Ça clairement ça m'intéresse aussi, quels sont leurs goûts, quels artistes aiment ils?

Que ce soit musicalement ou dans l'artwork de chaque album il y a beaucoup de références diverses..

Link to post
Share on other sites

En plus de ce qui a déjà été dit, je voudrais bien une partie sur Rammstein avant Rammstein, la vie en RDA et après la réunification, est-ce qu'ils se considèrent/considéraient comme un groupe allemand ou est-allemand, est-ce que cette vision a changé ou évolué ou non, etc...

  • Like 3
Link to post
Share on other sites
Il y a 2 heures, GuiBGuiB a dit :

savoir comment chacun trouve et nourrit son inspiration

 

Parce qu'il y en a qui se posent encore la question ? :ph34r:

  • Like 1
Link to post
Share on other sites

@TasDeGrainestu commences à m'agacer sérieusement à toujours venir cracher ta petite goutte de fiel sur chaque sujet.

Et oui je me pose plein de questions sur les influences du groupe.

J'aimerais connaitre la génèse de l'artwork de Lifad, d'où vient l'esthétique très clair-obscure des photos? Certaines sont vraiment évocatrices de la leçon d'anatomie de Rembrandt et des toiles du Caravage. C'est le choix de Eugenio Recuenco validé par le groupe ou une demande particulière du groupe ou d'un de ses membres?

Ce sont mes oreilles qui déconnent quand dans les premières notes de Wo bist du elles détectent une touche presque Klezmer? ou quand sur le premier album la façon de chanter de Till m'évoque Vissotsky avant qu'elle n'évolue vers quelque chose de beaucoup plus travaillé sur les suivants comme si il avait découvert ses possibilités vocales et travaillé avec des pros?

Etc etc....

Edited by Ecureuil de mauvais poil
  • Like 2
Link to post
Share on other sites
Il y a 2 heures, Ecureuil de mauvais poil a dit :

quand sur le premier album la façon de chanter de Till m'évoque Vissotsky avant qu'elle n'évolue vers quelque chose de beaucoup plus travaillé sur les suivants comme si il avait découvert ses possibilités vocales et travaillé avec des pros?

Révélation

Till Lindemann : J'ai appris à chanter avec une chaise sur la tête
 

Till Lindemann, chanteur et parolier de Rammstein, est venu à Moscou pour présenter son deuxième recueil de poèmes, "In the Quiet Night", publié en deux langues par la maison d'édition "EXMO". Le "Snob" s'est entretenu avec Lindemann au sujet de la musique et de la poésie.
Comme la provocation est presque un second nom pour Rammstein, je vais commencer par une question provocante. Il y a une quinzaine d'années, dans l'une de vos interviews, vous avez déclaré, jeune et audacieux à l'époque, qu'un jour, lorsque vous serez déjà populaire et que vous aurez fait beaucoup de choses, vous prendrez tout simplement votre retraite. Pour ne pas être comme certains vieux rockers qui continuent à profiter de leur popularité. Question : êtes-vous à la retraite maintenant ou êtes-vous devenu comme ces rockers ?

 

(rires) Est-ce que j'ai l'air si vieux ?

 

Mais 20 ans de carrière couronnée de succès, ce n'est pas rien.

 

Nous n'en sommes qu'au début ! Et tout le reste n'était, comme le disent les athlètes, qu'un échauffement.

 

Au cours des six années qui se sont écoulées depuis la sortie de Liebe ist für alle da, il semble qu'il n'y ait eu qu'un seul album de votre projet Lindemann et un disque d'arrangements pour piano de chansons tirées d'anciens albums. Où est donc le début ?

 

Notre musique continue de se développer. Nous avons maintenant assez d'expérience, nous avons une bonne connaissance de la nouvelle musique et des samples, et nous utilisons cette expérience pour enregistrer le prochain album. Ce sera un album au son très moderne. Nous resterons dans le hard rock, mais nous y ajouterons plus de mélodie. Ce genre de schlags heavy metal.

 

D'une manière générale, il semble qu'à partir de Mutter, vos albums soient devenus de plus en plus mélodiques. Comment allez-vous parvenir à être encore plus mélodique ?

 

Ma voix se développe également, je chante certaines choses de manière beaucoup plus audacieuse maintenant.

 

En parlant de voix, à partir de quel moment de votre carrière pouvez-vous dire que c'est là que j'ai appris à chanter ?

Je me souviens que les gens disaient, à propos des premiers albums, que Till ne savait pas chanter.

 

Il n'y a pas de moment précis où cela s'est produit. Mais une fois, je suis revenu d'une tournée et on m'a dit : "Tu as bien chanté". Je suppose que, comme pour n'importe quoi, si vous le faites souvent, vous commencez à vous améliorer. Mais en fait, je me souviens que ma mère m'a dit une fois : "Tu ne fais que du bruit, essaie d'apprendre à chanter."

 

Votre style de chant est très difficile à reproduire. Y a-t-il autre chose que l'expérience ? Avez-vous pris des cours de chant ?

 

J'ai pris des cours avec une chanteuse d'opéra pendant deux ans, deux fois par semaine. Elle vivait à Berlin, de l'autre côté de la ville. Je détestais cela. Les voyages étaient très longs et elle était très dure. Elle chantait dans un théâtre allemand et était la vedette de l'opéra Porgy and Bess de Gershwin. Je devais chanter en tenant une chaise au-dessus de ma tête - pour faire travailler le diaphragme - ou, par exemple, faire des pompes en chantant.

 

Comme les idoles coréennes. Elles chantent souvent en courant, en montant les escaliers, etc. lorsqu'elles s'entraînent.

 

La technique respiratoire était pratiquée de cette manière. Et cela m'a été très utile plus tard, lorsqu'il faut beaucoup bouger sur scène. De plus, nous avons beaucoup de fumée sur scène. La pyrotechnie, c'est lourd, c'est du feu. Il faut retenir son souffle, se détourner et attendre que la fumée se dissipe. Ce n'est pas si facile. Il ne suffit pas de faire sortir l'air de ses poumons, il faut travailler avec son diaphragme.


 

Revenons à la mélodie. Qui, dans le groupe, écrit les mélodies des chansons ?

 

À l'heure actuelle, nous avons tous notre propre rôle. Au début de notre carrière, chacun essayait de contribuer à tout, puis, au fil des ans, nous avons appris à comprendre nos forces et nos faiblesses.

 

quelles sont les forces et les faiblesses de qui ?

 

Je ne citerai pas de noms, mais disons qu'il y a quelqu'un qui fait du bon travail sur les riffs de guitare. Il y a quelqu'un qui fait du bon travail avec les mélodies.

 

Qui ?

 

Il y a généralement deux guitaristes. Le bassiste est très doué pour écrire des ballades et, soit dit en passant, il a un très bon niveau de guitare classique. Le claviériste fait des samples de piano, tout ce qui ressemble à des chœurs. Le batteur est doué pour l'informatique et la programmation, et pour l'édition de segments musicaux.

 

vous insufflez une signification textuelle au son.

 

Oui, j'écris des paroles.

 

Mais ce qui m'intéresse, c'est d'en savoir plus sur une chanson en particulier. Pouvez-vous me dire, par exemple, qui a écrit la mélodie de la chanson Mutter ?

 

Très bien, allons la chercher. Richard a écrit l'introduction. J'ai essayé d'y mettre une strophe de paroles, mais ça n'a pas très bien marché. Le refrain, pour être honnête, est né en studio. Chacun a proposé quelque chose de différent, c'est donc le résultat d'un travail d'équipe. Au départ, le refrain était le deuxième couplet. Mais à un moment donné, nous nous sommes rendu compte qu'il y avait trop de mots. Finalement, nous avons décidé de faire du refrain le mot Mutter.

 

J'ai cru comprendre que vous écriviez d'abord la musique, puis que vous choisissiez les paroles.

 

Oui.

 

Trouvez-vous des paroles spécialement pour la musique ou les prenez-vous dans un livre ?

 

J'ai toujours un carnet de notes avec moi, donc j'ai beaucoup de croquis et d'idées (il montre un téléphone avec des notes dessus). Voici ce que j'ai dessiné ce matin : "Une mauvaise réputation n'est pas une mauvaise chose". Je note toutes sortes de petites expressions et de tournures de phrases. À Moscou, j'écrivais beaucoup de textes. Ici, la circulation est un cauchemar, on est toujours dans les embouteillages.

 

Votre livre est-il un gaspillage de production de chansons ou vice versa ?

 

J'ai convenu avec mon éditeur que je pouvais voler une ou deux lignes de mon propre livre pour les transformer en paroles.

 

Comment répartissez-vous ce qui va où ? Qu'est-ce qui va dans le livre, qu'est-ce qui va dans les chansons ?

 

En général, ce n'est pas moi qui décide de ce qui va dans les chansons, mais mes collègues. Je fais constamment des suggestions, et il y a parfois beaucoup de variantes dans les paroles. Le record était de 43 - ich bin die Stimme aus dem Kissen (une ligne de la chanson Mein Herz brennt - Ndlr).

 

À ce stade, vous avez probablement essayé tous les sujets provocateurs du monde...

 

Non, j'en ai trouvé un autre. Vous allez voir !

Il y a eu toutes sortes d'incestes : grand-mères, mères, sœurs, frères. On a trollé les gros, on a trollé les clones, on a trollé les gays, on a trollé l'Amérique et la Russie, tout. Mais le nombre de déviations et de perversions dans le monde est limité.

Il se passe quelque chose tous les jours.

 

Où puisez-vous vos histoires ? Dans les journaux, sur Internet ?


 

De partout. L'Internet est une grande source. C'est comme un réservoir plein de merde. Il se passe toujours quelque chose dans le quartier. Mais n'oubliez pas que nous avons de bonnes chansons qui ne parlent pas de perversion. Mes collègues sont certainement gâtés. Vous pourriez prendre ce livre et en tirer des paroles, mais ils veulent quelque chose de nouveau. Ils sont vraiment comme des enfants gâtés. Ils ne s'en prennent même pas aux lignes, ils s'en prennent aux mots. Mais quand on en arrive là, je dis stop.

 

Pour écrire des poèmes comme ceux que vous écrivez, vous devez être capable de bien pénétrer dans la psyché des autres, d'avoir de l'empathie, si ce n'est littéralement, du moins intellectuellement. Après tout, une personne ne peut pas contenir tous les vices. Comment y parvenez-vous ?

 

Je pense que j'ai un don particulier, celui de l'imagination. Je peux m'asseoir sur une chaise, fermer les yeux et me retrouver dans un endroit complètement différent. Je peux changer très rapidement et vivre ce que j'imagine.

 

Comment faites-vous pour ne pas devenir fou ?

 

Je ne deviens pas fou.

 

Quelle est la différence entre votre dernier livre, Messer, et celui-ci ?

 

Dix ans se sont écoulés. Disons que le dernier livre était plus innocent. Le livre actuel est le résultat d'une créativité plus consciente. Lorsque j'ai écrit Messer, c'était quelque chose qui venait de l'intérieur. In stillen Nächten est plus conscient, il vient davantage de la tête.

 

Vous êtes d'abord devenu une rock star, puis vous avez commencé à faire votre chemin en tant que poète. Vous ne pouvez pas vous empêcher de réaliser que les gens qui viendront demain pour vous faire signer leur livre ne sont pas des amateurs de poésie, mais des fans de Rammstein. Ils ne viennent pas pour votre poésie, mais pour voir une idole du rock.

 

J'espère qu'ils essaieront d'imaginer ce que ce serait si ces poèmes étaient entourés de musique. J'espère aussi que cela ouvrira les portes à un nouveau public. Un public qui n'aime pas vraiment la musique lourde, mais qui lit des livres. Peut-être qu'ils achèteront le livre et qu'ils l'aimeront.

 

Quelle a été la plus grande déception de votre carrière ?

 

Ce n'est pas vraiment une déception, c'est un coup dur. Nous avions un concert au Mexique et à ce moment-là, il y a eu une fusillade dans une école. Deux écoliers armés de mitraillettes sont entrés dans l'école et ont abattu 20 ou 30 enfants et enseignants. Il est rapidement apparu que l'un d'entre eux était un fan inconditionnel de Rammstein. La presse a commencé à accuser Manson et Rammstein d'être responsables de la fusillade. Et le journal allemand le plus diffusé a titré sur le lien entre le crime et notre groupe.

 

Il y a toujours des gens qui ne font pas la différence entre la métaphore et le sens direct. Mais on ne peut s'empêcher de s'y attendre, quand on sait à quel point vos textes sont provocateurs.

 

Ce sont des choses complètement différentes. L'une est l'art. L'autre, c'est la façon dont les gens l'expriment à travers eux. Mais l'activisme est une autre histoire.

 

Mais personne n'est à l'abri d'un imbécile.

 

Oui, il y a des imbéciles partout, c'est le problème. Mais cela ne veut pas dire que je vais arrêter d'écrire des textes.

 

trad deepl 

Itw 2016

https://snob.ru/selected/entry/116910/

 De souvenir les cours de chant c’etait entre le 2ème  et le 3ème album,  Mais j’en suis pas sure. 

Edited by Jumahy
  • Thanks 5
Link to post
Share on other sites
il y a 17 minutes, Jumahy a dit :
  Révéler le contenu masqué

Till Lindemann : J'ai appris à chanter avec une chaise sur la tête
 

Till Lindemann, chanteur et parolier de Rammstein, est venu à Moscou pour présenter son deuxième recueil de poèmes, "In the Quiet Night", publié en deux langues par la maison d'édition "EXMO". Le "Snob" s'est entretenu avec Lindemann au sujet de la musique et de la poésie.
Comme la provocation est presque un second nom pour Rammstein, je vais commencer par une question provocante. Il y a une quinzaine d'années, dans l'une de vos interviews, vous avez déclaré, jeune et audacieux à l'époque, qu'un jour, lorsque vous serez déjà populaire et que vous aurez fait beaucoup de choses, vous prendrez tout simplement votre retraite. Pour ne pas être comme certains vieux rockers qui continuent à profiter de leur popularité. Question : êtes-vous à la retraite maintenant ou êtes-vous devenu comme ces rockers ?

 

(rires) Est-ce que j'ai l'air si vieux ?

 

Mais 20 ans de carrière couronnée de succès, ce n'est pas rien.

 

Nous n'en sommes qu'au début ! Et tout le reste n'était, comme le disent les athlètes, qu'un échauffement.

 

Au cours des six années qui se sont écoulées depuis la sortie de Liebe ist für alle da, il semble qu'il n'y ait eu qu'un seul album de votre projet Lindemann et un disque d'arrangements pour piano de chansons tirées d'anciens albums. Où est donc le début ?

 

Notre musique continue de se développer. Nous avons maintenant assez d'expérience, nous avons une bonne connaissance de la nouvelle musique et des samples, et nous utilisons cette expérience pour enregistrer le prochain album. Ce sera un album au son très moderne. Nous resterons dans le hard rock, mais nous y ajouterons plus de mélodie. Ce genre de schlags heavy metal.

 

D'une manière générale, il semble qu'à partir de Mutter, vos albums soient devenus de plus en plus mélodiques. Comment allez-vous parvenir à être encore plus mélodique ?

 

Ma voix se développe également, je chante certaines choses de manière beaucoup plus audacieuse maintenant.

En parlant de voix, à partir de quel moment de votre carrière pouvez-vous dire que c'est là que j'ai appris à chanter ? Je me souviens que les gens disaient, à propos des premiers albums, que Till ne savait pas chanter.

Il n'y a pas de moment précis où cela s'est produit. Mais une fois, je suis revenu d'une tournée et on m'a dit : "Tu as bien chanté". Je suppose que, comme pour n'importe quoi, si vous le faites souvent, vous commencez à vous améliorer. Mais en fait, je me souviens que ma mère m'a dit une fois : "Tu ne fais que du bruit, essaie d'apprendre à chanter."

 

Votre style de chant est très difficile à reproduire. Y a-t-il autre chose que l'expérience ? Avez-vous pris des cours de chant ?

 

J'ai pris des cours avec une chanteuse d'opéra pendant deux ans, deux fois par semaine. Elle vivait à Berlin, de l'autre côté de la ville. Je détestais cela. Les voyages étaient très longs et elle était très dure. Elle chantait dans un théâtre allemand et était la vedette de l'opéra Porgy and Bess de Gershwin. Je devais chanter en tenant une chaise au-dessus de ma tête - pour faire travailler le diaphragme - ou, par exemple, faire des pompes en chantant.

 

Comme les idoles coréennes. Elles chantent souvent en courant, en montant les escaliers, etc. lorsqu'elles s'entraînent.

 

La technique respiratoire était pratiquée de cette manière. Et cela m'a été très utile plus tard, lorsqu'il faut beaucoup bouger sur scène. De plus, nous avons beaucoup de fumée sur scène. La pyrotechnie, c'est lourd, c'est du feu. Il faut retenir son souffle, se détourner et attendre que la fumée se dissipe. Ce n'est pas si facile. Il ne suffit pas de faire sortir l'air de ses poumons, il faut travailler avec son diaphragme.


 

Revenons à la mélodie. Qui, dans le groupe, écrit les mélodies des chansons ?

 

À l'heure actuelle, nous avons tous notre propre rôle. Au début de notre carrière, chacun essayait de contribuer à tout, puis, au fil des ans, nous avons appris à comprendre nos forces et nos faiblesses.

 

quelles sont les forces et les faiblesses de qui ?

 

Je ne citerai pas de noms, mais disons qu'il y a quelqu'un qui fait du bon travail sur les riffs de guitare. Il y a quelqu'un qui fait du bon travail avec les mélodies.

 

Qui ?

 

Il y a généralement deux guitaristes. Le bassiste est très doué pour écrire des ballades et, soit dit en passant, il a un très bon niveau de guitare classique. Le claviériste fait des samples de piano, tout ce qui ressemble à des chœurs. Le batteur est doué pour l'informatique et la programmation, et pour l'édition de segments musicaux.

 

vous insufflez une signification textuelle au son.

 

Oui, j'écris des paroles.

 

Mais ce qui m'intéresse, c'est d'en savoir plus sur une chanson en particulier. Pouvez-vous me dire, par exemple, qui a écrit la mélodie de la chanson Mutter ?

 

Très bien, allons la chercher. Richard a écrit l'introduction. J'ai essayé d'y mettre une strophe de paroles, mais ça n'a pas très bien marché. Le refrain, pour être honnête, est né en studio. Chacun a proposé quelque chose de différent, c'est donc le résultat d'un travail d'équipe. Au départ, le refrain était le deuxième couplet. Mais à un moment donné, nous nous sommes rendu compte qu'il y avait trop de mots. Finalement, nous avons décidé de faire du refrain le mot Mutter.

 

J'ai cru comprendre que vous écriviez d'abord la musique, puis que vous choisissiez les paroles.

 

Oui.

 

Trouvez-vous des paroles spécialement pour la musique ou les prenez-vous dans un livre ?

 

J'ai toujours un carnet de notes avec moi, donc j'ai beaucoup de croquis et d'idées (il montre un téléphone avec des notes dessus). Voici ce que j'ai dessiné ce matin : "Une mauvaise réputation n'est pas une mauvaise chose". Je note toutes sortes de petites expressions et de tournures de phrases. À Moscou, j'écrivais beaucoup de textes. Ici, la circulation est un cauchemar, on est toujours dans les embouteillages.

 

Votre livre est-il un gaspillage de production de chansons ou vice versa ?

 

J'ai convenu avec mon éditeur que je pouvais voler une ou deux lignes de mon propre livre pour les transformer en paroles.

 

Comment répartissez-vous ce qui va où ? Qu'est-ce qui va dans le livre, qu'est-ce qui va dans les chansons ?

 

En général, ce n'est pas moi qui décide de ce qui va dans les chansons, mais mes collègues. Je fais constamment des suggestions, et il y a parfois beaucoup de variantes dans les paroles. Le record était de 43 - ich bin die Stimme aus dem Kissen (une ligne de la chanson Mein Herz brennt - Ndlr).

 

À ce stade, vous avez probablement essayé tous les sujets provocateurs du monde...

 

Non, j'en ai trouvé un autre. Vous allez voir !

Il y a eu toutes sortes d'incestes : grand-mères, mères, sœurs, frères. On a trollé les gros, on a trollé les clones, on a trollé les gays, on a trollé l'Amérique et la Russie, tout. Mais le nombre de déviations et de perversions dans le monde est limité.

Il se passe quelque chose tous les jours.

 

Où puisez-vous vos histoires ? Dans les journaux, sur Internet ?


 

De partout. L'Internet est une grande source. C'est comme un réservoir plein de merde. Il se passe toujours quelque chose dans le quartier. Mais n'oubliez pas que nous avons de bonnes chansons qui ne parlent pas de perversion. Mes collègues sont certainement gâtés. Vous pourriez prendre ce livre et en tirer des paroles, mais ils veulent quelque chose de nouveau. Ils sont vraiment comme des enfants gâtés. Ils ne s'en prennent même pas aux lignes, ils s'en prennent aux mots. Mais quand on en arrive là, je dis stop.

 

Pour écrire des poèmes comme ceux que vous écrivez, vous devez être capable de bien pénétrer dans la psyché des autres, d'avoir de l'empathie, si ce n'est littéralement, du moins intellectuellement. Après tout, une personne ne peut pas contenir tous les vices. Comment y parvenez-vous ?

 

Je pense que j'ai un don particulier, celui de l'imagination. Je peux m'asseoir sur une chaise, fermer les yeux et me retrouver dans un endroit complètement différent. Je peux changer très rapidement et vivre ce que j'imagine.

 

Comment faites-vous pour ne pas devenir fou ?

 

Je ne deviens pas fou.

 

Quelle est la différence entre votre dernier livre, Messer, et celui-ci ?

 

Dix ans se sont écoulés. Disons que le dernier livre était plus innocent. Le livre actuel est le résultat d'une créativité plus consciente. Lorsque j'ai écrit Messer, c'était quelque chose qui venait de l'intérieur. In stillen Nächten est plus conscient, il vient davantage de la tête.

 

Vous êtes d'abord devenu une rock star, puis vous avez commencé à faire votre chemin en tant que poète. Vous ne pouvez pas vous empêcher de réaliser que les gens qui viendront demain pour vous faire signer leur livre ne sont pas des amateurs de poésie, mais des fans de Rammstein. Ils ne viennent pas pour votre poésie, mais pour voir une idole du rock.

 

J'espère qu'ils essaieront d'imaginer ce que ce serait si ces poèmes étaient entourés de musique. J'espère aussi que cela ouvrira les portes à un nouveau public. Un public qui n'aime pas vraiment la musique lourde, mais qui lit des livres. Peut-être qu'ils achèteront le livre et qu'ils l'aimeront.

 

Quelle a été la plus grande déception de votre carrière ?

 

Ce n'est pas vraiment une déception, c'est un coup dur. Nous avions un concert au Mexique et à ce moment-là, il y a eu une fusillade dans une école. Deux écoliers armés de mitraillettes sont entrés dans l'école et ont abattu 20 ou 30 enfants et enseignants. Il est rapidement apparu que l'un d'entre eux était un fan inconditionnel de Rammstein. La presse a commencé à accuser Manson et Rammstein d'être responsables de la fusillade. Et le journal allemand le plus diffusé a titré sur le lien entre le crime et notre groupe.

Il y a toujours des gens qui ne font pas la différence entre la métaphore et le sens direct. Mais on ne peut s'empêcher de s'y attendre, quand on sait à quel point nos textes sont provocateurs.

Ce sont des choses complètement différentes. L'une est de l'art. L'autre, c'est la façon dont les gens l'interprètent. Mais l'activisme est une autre histoire.

 

Mais personne n'est à l'abri d'un imbécile.

 

Oui, il y a des imbéciles partout, c'est le problème. Mais cela ne veut pas dire que je vais arrêter d'écrire des textes.

 

trad deepl 

 

https://snob.ru/selected/entry/116910/

 De souvenir les cours de chant c’etait entre le 2ème  et le 3ème album,  Mais j’en suis pas sure. 

ça colle  à mon avis. Sur Mutter on sent une maitrise de sa voix bien meilleure.

 

  • Like 1
  • Thanks 1
Link to post
Share on other sites
il y a 1 minute, Ecureuil de mauvais poil a dit :

ça colle  à mon avis. Sur Mutter on sent une maitrise de sa voix bien meilleure.

 

Perso aussi je mettrais ses cours entre les deux, parce qu’il y’a une net amélioration entre les deux albums. Placement de sa voix, souffle et une bien meilleur exploitation de son potentiel. 

  • Like 2
Link to post
Share on other sites
il y a 58 minutes, Jumahy a dit :

quelles sont les forces et les faiblesses de qui ?

 

Je ne citerai pas de noms, mais disons qu'il y a quelqu'un qui fait du bon travail sur les riffs de guitare. Il y a quelqu'un qui fait du bon travail avec les mélodies.

 

Qui ?

 

Il y a généralement deux guitaristes. Le bassiste est très doué pour écrire des ballades et, soit dit en passant, il a un très bon niveau de guitare classique. Le claviériste fait des samples de piano, tout ce qui ressemble à des chœurs. Le batteur est doué pour l'informatique et la programmation, et pour l'édition de segments musicaux.

 

Ça, c'est super intéressant, par contre, comme quoi on sous-estime peut-être le rôle d'Ollie dans les compositions. Pour les guitaristes, je suppose que c'est plutôt Richard pour les riffs et Paul pour les mélodies, puisque les riffs d'Emigrate ressemblent beaucoup plus à R+ que ses mélodies. Peut-être aussi que certains morceaux qui sonnent assez électroniques sont en fait dus à Doom, du coup.

  • Like 5
Link to post
Share on other sites
Il y a 2 heures, Ecureuil de mauvais poil a dit :

@TasDeGrainestu commences à m'agacer sérieusement à toujours venir cracher ta petite goutte de fiel sur chaque sujet.

 

Désolé d'apprendre que tu as perdu ton second degré 

Link to post
Share on other sites
Il y a 15 heures, Niklaus a dit :

Qu'attendez-vous de ce documentaire ? Autant le live me hype, autant ce documentaire me laisse assez froid. J'anticipe quelque chose destiné au grand public sur Amazon dont je n'apprendrai pas grand chose. J'essaye de me dire quand même qu'on aura peut-êtredu proshot inédit, voire qui sait une démo inconnue en fond sonore d'une archive pour me motiver. 

 

Vous aimeriez que le documentaire lève le voile sur quel aspect du groupe ? Backstage de tournées, détails sur l'enregistrement des albums, anecdotes croustillantes sur leur vie sentimentale ?

Entre ce qui va être fait et ce que j’aimerais, y a un gouffre je pense entre mes désires et la réalité.
J’ai peur de ne rien apprendre de nouveau.  Je pense à un documentaire assez général… avec des petites confidence, mais rien d’extraordinaire 

 
 

A moins que ça a un impact sur leur travail (par exemple comme source d’inspiration, ou que ce soit  fondateur pour leur parcours musical, etc ) le côté vie sentimentale, ça m’intéresse pas. Même  si, je suis pas contre fondamentalement, c’est suivant comment c’est utilisé dans la narration du doc, ça peut aider pour l’identification, par exemple. Mais là, dans l’absolu je te répondrais, non. 
 

j’aurais aimé savoir comment  ils gèrent la pression des média, bon j’attends pas qu’il parle de ce qu’il s’est passé en 2023. Même si ça me serait cool de voir les choses en interne. Mais au moins leur relation avec les médias depuis leur début qui est assez conflictuelle. Mais aussi la pression avec  internet. 

Comme @Amaranth_ j’aimerais que ça explore un peu plus leur relation a leur passé, a leur identité allemande et les changements qu’ils ont du affronter à la chute du mur.  Ce qu’ils pense de l’Allemagne actuellement.
J’aimerai une réelle et bonne chronologie des débuts de leur rencontre à tous et comment tout c’est mis en place pour en arriver jusqu’à Rammstein. en gros un recap d’environ 1980 à 1994, un truc qui prendrais 1mn ou 1mn30, mais qui enlèverait certains flous. 

J’aimerais aussi voir leur manière de travailler en gros, les prises de décision, quelques idées avortées, etc ne serait ce que le développement d’une seule chanson pour illustrer ça. 

les making of des clips du dernier album.

Pour la tournée, la mise en place des idées et de leur accomplissement pour la scène et la mise en scène. 

Les backstage de la tournée avec  les imprévus a gérer, histoire d’avoir un peu de suspens. 

____ 

 

Mon rêve c’est pas vraiment un documentaire, mais ça serait une série de 11 épisodes (histoire de garder le chiffre porte bonheur)bien réalisé, avec des bonne reconstitution d’époque, sur leur vie d’avant la chute du mur, et ca jusqu’à leur fin de carrière avec pour chaque épisode une de leur chanson comme thème principal. 

en vrai je trouve qu’ils feraient une super source d’inspiration pour en faire une. 

Edited by Jumahy
  • Like 2
  • Thanks 1
Link to post
Share on other sites
il y a 19 minutes, TasDeGraines a dit :

Désolé d'apprendre que tu as perdu ton second degré 

Non, l'excuse de l'humour, du second degré, ça ne tient plus quand tu boucles ad nauseam sur le même sujet, avec les mêmes "vannes" éculées et pas drôles. Ça devient plus gênant qu'autre chose.

 

Tu n'apprécies plus le groupe parce que le comportement de Till t'insupporte et te déçoit ? C'est ton droit le plus strict.

 

Tu passes ton temps à troller dès qu'il s'agit d'un sujet en rapport avec le groupe sur un fan forum dédié à celui-ci ?

Ça n'apporte rien de constructif, et c'est une perte de temps pour tout le monde, y compris pour toi (personnellement, quand je n'aime pas quelque chose ou que cela m'indiffère, je ne perds pas mon temps à interagir avec les gens qui aiment ladite chose en trollant ce qu'ils aiment ou en leur faisant comprendre qu'il y a mieux, je fais ce que j'aime, point. Let people enjoy things.) (et ne me sors pas l'argument de la critique, ça fait bien longtemps te concernant que ça vire à l'obsessionnel, et je suis pourtant le premier à dire qu'il y a des choses à critiquer dans le groupe).

 

Je t'aime bien, mais je pense que ton comportement sur le forum te dessert alors que tu es quelqu'un de sympathique et agréable avec qui discuter sur d'autres sujets. Tu vaux mieux que ça

 

 

@Jumahy: il y a déjà le docu "Acthung Wir Kommen" pour ça, non ? Vu le bordel autour de la sortie de ce truc, je ne suis pas certain que le groupe aie envie de revenir là-dessus.

Je suis assez d'accord avec Niklaus, je crains que le docu ne nous apprenne pas grand chose.

Le canal de diffusion grand public me laisse à penser à quelque chose de très formaté, extrêmement lisse et qui servira du fan service lambda sans trop creuser.

 

On pouvait en attendre déjà un peu plus du docu In Amerika du fait qu'il se destinait, du fait qu'il était un bonus au DVD du live du même nom, nécessairement plus à des fans déja plus investis puisqu'il fallait faire l'effort d'acheter le DVD du live.

 

Tout au plus pourra-t-on espérer voire ressortir 2-3 rarities en support d'illustration, comme à l'époque d'In Amerika d'ailleurs.

Edited by Buffalo Biffle
  • Like 2
  • Thanks 5
Link to post
Share on other sites

Create an account or sign in to comment

You need to be a member in order to leave a comment

Create an account

Sign up for a new account in our community. It's easy!

Register a new account

Sign in

Already have an account? Sign in here.

Sign In Now
×
×
  • Create New...